Déjà tout petit, j’étais très curieux, je voulais tout voir, tout savoir, tout comprendre, je posais mille questions jusqu’à ce que je comprenne le pourquoi et le comment.
Je n’ai pas changé
J’ai 21 ans et je n’ai pas changé, ma curiosité est mon plus vilain défaut même si certaines personnes disent que c’est une grande qualité.
Le choix de mon métier a été une évidence, je voulais être chercheur et c’est ce que je fais aujourd’hui.
Je peux passer des heures devant un problème qui paraît insolvable et j’arrive toujours à mes fins, ce que je veux comprendre, je le comprend un jour ou l’autre même si ça me demande du temps.
La patience est obligatoire
Dans mon métier, la patience est obligatoire, pour trouver une solution ou un remède, il faut du temps et parfois beaucoup de temps. Il ne faut surtout pas s’énerver, ni s’entêter!
J’ai appris à vivre sans stress, certaines chercheurs passent toutes leurs vie sur la confection d’un remède qu’ils ne trouveront jamais mais ils sont persévérants et patients!
Je suis à la tête d’une petite équipe
Je dirige une petite équipe de jeunes chercheurs, ils sont la plupart du temps très déçus par la lenteur et par le manque de résultats.
Ils voudraient trouver le remède miracle dès leur arrivée sans se douter qu’une belle trouvaille demande parfois des mois voir des années.
Le plus important pour moi est de faire avancer les recherches sur des vaccins qui pourraient guérir de nombreuses personnes, c’est difficile mais je suis certain qu’on va y arriver!